Peut-être, pour l’amour des forêts d’hêtre, qui ombragent votre chemin, où on se perd et on se réjouit comme un enfant, où on est constamment poussés à revenir vers les joies basiques de l’existence.
Ou ... peut-être parce que seulement là-bas on peut, encore, apercevoir, dans son champs, un paysan en train de labourer ses terres avec son cheval; parce que là-bas on peut voir comment on fauche, exactement comme le grand-père le faisait, ou parce que là-bas on peut voir comment, dans le temps, on attachait les baquets. Tous les jours on peut rencontrer des troupeaux de moutons ou des charrettes de foins.
Soyez vigilent sur la route, car, de nulle part, des biches et des cerfs surgissent très souvent.
Les cortèges des mariages qu’on peut rencontrer sur la route peuvent être photographiés librement; ce sont des vrais spectacles artistiques qui présentent des costumes traditionnels.
Il ne faut pas se gêner de recevoir de la part d’un inconnu, un verre d’eau-de-vie; il vous est offert volontiers, avec joie et avec l’hospitalité caractéristique aux gens de Bucovine.
* N’oubliez pas l’appareil photo. L’album photo sera la récompense pour l’effort d’avoir voyagé jusqu’en Bucovine ...
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